Gravures des armoires du trésor de saint Denis

Si il eut bien un trésor qui possédait une très grande renommée c'était à coup sur le trésor de saint Denis .
Constitué depuis la période mérovingienne (grande croix d’orfèvrerie de saint Elois trône de Dagobert ) tout on long des siècle il s'agrandit de plus le dépôts des couronnes de Philippe auguste par saint Louis en fit le lieu de garde pour les instruments du sacre et ceux jusque la révolution qui lui portera un coup fatale dans l'inventaire de 1634 454 pièce étaient répertoriée mais à cette époque le trésor suite à la guerre de cent ans et au guerre de religion avait été amputé d'un tier de ces objets dont la couronne du sacre des roi fondue par les ligueurs mai il s'enrichira encore jusque la fin de l'ancien régime grâce notamment au dépôts des couronnes d'or et de vermeil des roi jusque Louis XVI mais aussi par le dépôt de différent objets .il était de coutume que toute personne cultivée devait visiter le trésor malgré un ordre de Louis XIII pour en limiter la visite de nombreux livret seront même réalisé avec l'historique de chaque pièce.en 1706 DOM Félibien représentera dans un ouvrage les cinq armoire du trésor mais à la révolution les armoire étaient passée à huit. voici aujourd’hui 'hui les vues de ces armoires par la suite je détaillerai chaque pièces ainsi que ce quelle est devenue

planche I



planche II



planche III



planche IV



planche V




Au plaisir

Pour bien situer le lieu où était exposé le trésor dans ses vitrine, il faut examiner le plan ci-dessous.
Le trésor était dans un bâtiment d'un étage, sur le flanc Sud de la basilique, qui fut détruit au début du XIX°s (puisque le trésor n'existait plus. Les merveilleux objets étaient exposés derrières de grandes et hautes armoires-vitrines.
Le trésor est ici entouré d'un cercle noir. A partir du bas côté Sud, à la hauteur de l'angle Sud Ouest du jubé, on empruntait un escalier perpendiculaire, puis on gagnait le premier étage où se trouvait le trésor.

Le trésor de Saint-Denis, sans doute le plus riche d'Occident avec celui de Saint-Marc de Venise, attirait beaucoup de visiteurs français et étrangers. Le tourisme existait bien avant la Révolution !
Des petits guides rédigés par les moines pouvaient être achetés pour une somme modique, pour avoir un commentaire détaillé des pièces exposés derrière les grandes vitrines.

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